OTAVALO



OTAVALO 19 au 24 Septembre

Au passage de la frontière, on a retrouvé un couple de voyageurs, Ana et Pier, rencontré quelques semaines plus tôt à Salento. On prend le taxi direction Tulcan, puis le bus et un autre taxi ensemble pour rejoindre Otavalo. 
On n'a pas changé nos habitudes, on a pris un hôtel à quelques km du centre. On se pose dans un fast-food parce qu'on est chargées, fatiguées et qu'on n'a rien trouvé de mieux. 
On est sur la place des ponchos, très connue pour son artisanat indigène. Ici, la majorité parle Quechua et ont de magnifiques cheveux longs et noirs.
On s'achète une puce locale, on prend un autre taxi direction la Luna. 
Superbe hôtel, pas vraiment dans notre budget, mais on y réfléchira plus tard, c'est super de ce dire que ce soir, on va dormir dans un vrai lit ! 
L'endroit est canon, vue magnifique (on est un peu plus en hauteur qu'Otavalo), cheminée parce qu'en fait, il fait assez froid, hamacs... T'as l'impression d'être au ski !


  

  

  

On converse avec Ana et Pier et on se décide à faire la rando de la laguna Cuicocha, 4h de marche autour de cette magnifique étendue d'eau et de ces 2 petites îles. Superbe balade. Puis on ira visiter le pueblo de Cotacachi réputé pour son travail sur le cuir. On était super déçu. 




  

  

  



  

  

  

  



  



  

  

  



Le lendemain, j'ai été à l'aventure sur le Fuya-Fuya montagne de 4 263m d'altitude bordant la laguna Mojanda. J'étais tellement excitée que je n'ai presque pas réussi à manger mon petit-déjeuner. Je n'avais jamais grimpé aussi haut, le plus dur, c'était la respiration, là, tu sens un peu les innombrables cigarettes qui obstruent tes petits poumons. J'ai eu la chance d'avoir 5 min d'une magnifique vue dégagée avant que les nuages viennent m'envahir en plein pendant mon goûter. 

  

  

  



  

  

  

On a fait plusieurs balades dans la ville, les marchés de fruits et légumes, des jus d'herbes et de carottes, des ponchos en alpaga partout... Du coup, on s'est acheté des écharpes, et Sophie un pull sans motif de lama. 

  

  

  

  

  

 



  

  

  

  

  

  

  

Avant de partir, on a eu le temps de faire un dernier bisou à Adèle qui est arrivée a Otavalo la veille. Puis on est parties pour rejoindre Tabata petite ville collée à l'aéroport de Quito pour ne pas rater notre vol pour les Galapagos. C'était le parcours du combattant. Pour enfin y parvenir, on aura pris 2 taxis, 3 bus... Les bus étaient tous bondés, on a dû attendre et attendre avant d'en prendre un qui n'allait pas tout à fait où on voulait. Dans ces moments-là, tu détestes ton sac... On a mis la journée entière avant d'arrivée de nuit au Colibri Hostel. Et pourtant, ce n'était pas très loin de notre point de départ. Bien contente d'être enfin arrivée, on s'en fichait un peu que l'ambiance soit glauque, on regardait les avions atterri nous raser la tête de près. 


Demain, on part au Galapagos pour 1 mois de volontariat avec des chevaux. 

Voir le film de OTAVALO


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